Pour la faculté de Lettres, j’ai dû écrire un commentaire sur un passage du roman de D.H.Lawrence, roman qui ne fut imprimé au Royaume-Uni (1960) que longtemps après la mort de l’auteur (1930).
Ce livre a provoqué un énorme scandale : scènes explicites de relations sexuelles, vocabulaire considéré comme grossier… De plus, les amants n’appartiennent pas à la même classe sociale : Constance (alias Lady Chatterley) est une aristocrate tandis que Olivier Mellors est de classe populaire (il est son garde-chasse).
« Je travaille toujours à la même chose : rendre la relation sexuelle authentique et précieuse au lieu de honteuse. Et c’est dans ce roman que je suis allé le plus loin. Pour moi, il est beau, tendre et frêle comme le moi dans sa nudité. »
Lettre de D.H. Lawrence à Nancy Pearn, le 12 avril 1927
Résumé :
Le mari de Lady Chatterley, Sir Clifford (propriétaire terrien et homme de lettres) est devenu paralysé et sexuellement impuissant suite à des blessures pendant la Grande Guerre, gravement estropié et condamné à la chaise roulante. Constance Reid décide alors de commencer une liaison avec son garde chasse (un homme manuel de la terre, un peu “animal” et opposé à Sir Clifford) pour échapper à une vie monotone et un mari indifférent mais alors que tout les sépare dans l'Angleterre puritaine du début du XXe siècle. Quand le roman se termine, Constance attend un enfant de Mellors. Ils sont provisoirement séparés en attendant d’obtenir le divorce de leurs conjoints respectifs.
Thèmes abordés : la sexualité, la rencontre amoureuse, l’éveil à la sensualité, la renaissance, l’expérience, l’infidélité, un monde sans avenir, le plaisir féminin, la virilité, la guerre…
Le passage à commenter :
Mon passage se limite aux pages 374 à 377 de mon édition : “Le tonnerre […]” à “[…] les rondeurs des globes.” Pour plus de précision, l’extrait se situe au chapitre XV du roman. Précédemment, Olivier Mellors débat en faveur d’un monde qui n’a plus rien à offrir, un monde malveillant et sans avenir, ce qui ne lui donne pas envie d’avoir des enfants. Dans notre extrait, Constance et Olivier ont une relation charnelle sous la pluie. Olivier sait que le départ de Constance pour Venise est proche.
Comment le désir est ici écrit ou perçu par l’auteur à travers la double focalisation de nos deux amants ?
I/ Une double focalisation avec le point de vue des deux amants
II/ Le désir charnel et la nature
III/ L’écriture du désir
PREMIÈRE PARTIE : a) Le premier point de vue est celui de Constance.
Elle revoit son amant Olivier (deuxième focalisation du passage) avant de partir loin de lui, à Venise. La première chose que l’on sait est le mécontentement de Constance : “Constance n’était pas contente.” (l.4). Olivier qui était en pleine réflexion sur le devenir de l’humanité a parlé trop longtemps et n’a pas été assez présent pour Constance : “Au fond, c’est à lui-même qu’il avait parlé, non à elle.” (l.5-6). Constance veut se sentir désirée une dernière fois avant son départ pour Venise, mais lui préfère disserter : “Elle savait que son départ pour Venise, dont il venait seulement de sentir la réalité, l’avait replongé dans cet état d’âme.” (l. 8-10). Constance sait que Olivier est désespéré de la quitter ce qui nourrit l’ego de l’aristocrate : “Et elle triomphait un peu.” (l.10-11). La tristesse d’Olivier est une preuve de l’amour qu’il témoigne envers elle, ce qui donne l’impression qu’Olivier a été conquis par Constance, et qu’elle considère ce gage d’amour comme une victoire sur une bataille. La focalisation interne de Constance s'achève au moment où elle décide de courir nue sous la pluie. Après une pause qui se concentre sur la vision d'Olivier, le lecteur retrouve les pensées de Constance flânant dans la nature et prenant son temps pour rentrer : “Mais elle venait plus lentement, cueillant des myosotis, des pensées sauvages et des campanules, courant un moment, puis s’arrêtant pour le voir fuir loin d’elle.” (l.65-68). Constance profite du moment présent, carpe diem, "vivre le jour présent" c'est-à-dire que le récit semble s'arrêter sur la nature autour de Constance qui profite de la vie. La nature est prodigue, c’est un paysage bucolique et amoureux. On pourrait penser qu’il s’agit du printemps, qui est aussi la saison des amours. Lorsqu’elle entre dans la cabane, Olivier a déjà tout préparé : on a une petite ellipse : “Quand elle arriva à la cabane avec ses fleurs, toute haletante, elle vit déjà le feu allumé, dont les brindilles craquaient.” (l.69-71). Constance reste la maîtresse des lieux, Olivier s’occupe donc d’elle par dévouement tout comme par amour. Le feu peut être la métaphore de la passion amoureuse qui, à peine assouvie quelques instant plus tôt, est déjà ravivée. Le feu comme symbole de la passion amoureuse est un topos de l’amour courtois mais il est ici revisité : le feu de la flamme amoureuse est représenté par un feu de cheminé chaleureux, familial, reposant qui sèche de la pluie au lieu de raviver le désir des deux amants.
PREMIÈRE PARTIE : b) Le deuxième point de vue est celui d’Olivier.
Puis nous avons également le point de vue d’Olivier Mellors à partir du moment où Constance décide de sortir nue sous la pluie : “Elle se leva et se mit à enlever rapidement ses bas, puis sa robe et ses dessous ; et il retenait son souffle.” (l.16-17). Ici, le narrateur montre que le simple fait de voir le corps de la femme nue est désirable. Olivier observe en détail (imparfait de description) Constance qui danse sous la pluie ; il est bien loin des réflexions qu’il se disait presque seul tantôt. A présent, c’est Constance qui le distrait. A travers le regard de l’homme, on peut tirer un portrait sensuel du corps Constance : “Elle était couleur d’ivoire” (l.19-20), “étrange forme pâle” (l.26), “ses hanches pleines” (l.28 et 75), “ses yeux bleus étincelèrent” (l.38), “des fesses arrondies, brillantes de pluie” (l.44-45), “sa taille douce, nue et mouillée” (l.48), “sa chair douce et fraîche” (l.49-50), “les seins charmants et lourds de Constance” (l.54-55), “elle semblait un autre être” (l.76), “Il contemplait la belle chute arrondie des hanches” (l.95-96), “Comme elles descendaient en belle pente jusqu’à la lourde rondeur de ses fesses !” (l.97-98), “les courbes et les rondeurs des globes.” (l.104-105). La blancheur de sa peau, la volupté de ses formes, la contemplation de l’homme à travers ces exclamations nous donne l’impression que Constance est une déesse, une nymphe, une entité féerique. Elle est unique, elle semble venue d’ailleurs. Le point de vue d’Olivier se concentre surtout sur le physique de Constance : l’amour passant par le regard est un topos de la littérature. La comparaison des formes de Constance aux "globes" représente non seulement la volupté des formes, mais aussi qu’elle est la seule sur terre à en posséder. La divinisation de l’être aimé est un topos de la littérature dans l’amour courtois.
Par ces deux points de vue différents, on peut noter la différence de caractère entre les deux amants. Premièrement, Olivier entretenait une conversation philosophique avec Constance juste avant notre extrait nourris par des pensées philosophiques, des discours sociaux, des prises de positions politiques, de conventions sociales déclinantes sous le fléau de l’industrialisation, mais celle-ci aurait sans doute préféré qu’il s’attarde plus sur leur amour : “Constance n’était pas contente. Il avait parlé si longtemps et, au fond, c’est à lui-même qu’il avait parlé, non à elle.” (l.4-6). Cette conversation a donné à Olivier une image d’un homme sans espoir et malheureux, tandis que Constance se projette dans l’avenir et est heureuse : “Il semblait complètement envahi par le désespoir, tandis qu’elle se sentait heureuse et haïssait le désespoir.” (l.6-8). Nos deux amants ne se jettent pas sous la pluie pour les mêmes raisons : Constance décide de danser nue sous la pluie par spontanéité, impulsivité, par joie, pour attirer l’attention d’Olivier peut être, tandis qu’Olivier rejoint Constance par désir charnel : “Il rit d’un rire faux et enleva lui aussi ses vêtements. C’en était trop.” (l.33-34). C’est d’ailleurs lui qui prendra l’initiative de l’acte sexuel, par étapes : “il l’atteignit et jeta son bras autour d’elle, autour de sa taille” (l.47), “il la pressa toute entière contre lui, follement” (l.50-51), “il prit les seins” (l.54), “Puis soudain il la souleva et tomba avec elle […] il la prit comme un animal” (l.57-60). Le récit est revenu au passé simple, temps de l’action en cours. L’énumération d’action est précise, le lecteur suit étapes par étapes les préliminaires des amants jusqu’à l’acte qui n’est pas décrit (la scène est seulement érotique). On retrouve la vision de l’acte d’amour naturel et spontané de l’auteur dans ce passage.
Ensuite, on apprend qu’Olivier n’aime pas la pluie : “Il courait droit et vite : il n’aimait pas la pluie.” (l.64-65), ce qui ne l’a pas empêché de retrouver Constance. C’est ainsi que l’on perçoit la pulsion animale d’Olivier par moment seulement car ce n’est pas un homme plein de folie pour autant, contrairement à Constance qui n’hésite pas à se lancer : “elle eut tout à coup l’envie de s’élancer sous la pluie” (l.13-14). D’ailleurs, elle préfère prendre son temps pour rentrer : “Mais elle venait plus lentement” (l.65-66). Olivier semble plus protecteur envers Constance qui apparaît comme une enfant : “elle se tenait droite, comme une enfant” (l.77-78). En effet, Olivier s’occupe du logis et de son amante : “le feu déjà allumé” (l.70), “Il prit le vieux draps de lit et l’en essuya du haut en bas […] Puis il s’essuya lui-même, après avoir fermé la porte de la cabane.” (l.76-79). Olivier représente le stéréotype de l’homme traditionnel qui s’occupe de la sécurité et du confort de la famille, contrairement au mari de Constance qui, handicapé, ne peut plus assurer grand chose. Ainsi, Olivier est représenté comme l’opposé parfait du mari de Constance, qui est représentée comme “une vraie femme” (selon l’auteur) qui s’assume et qui vit pleinement selon tous ses types de désirs.
DEUXIÈME PARTIE : L’acte d’amour charnel est une puissance évocatrice de l’érotisme à travers la nature.
Tout d’abord, on peut noter qu’il est dit de Mellors que c’est un “animal” ainsi qu’un “homme des bois” dans le roman. On ne s’attend pas, avec un tel portrait, à ce qu’il fasse preuve de douceur. On s’attend donc à un rapport charnel puissant et sauvage, en lien avec la nature. On peut relever le champ lexical de l’amour sauvage et naturel que soutient l’auteur : “ses seins pointus et aigus d’animal pointaient” (l.18), “avec un petit rire sauvage” (l.21-22), “en une sorte d’hommage, d’acte sauvage, d’obédience” (l.31-32), “mouvement de charge” (l.39), “Elle courait” (l.41), “femme en fuite” (l.45), “prestement, promptement, il la prit là, comme un animal” (l.59-60), “haletant de tant d’exercice” (l.87). L’acte est sauvage, et il est aussi représenté comme un jeu entre les deux amants : jeu de séduction, jeu de désir, jeu de tentation. Ils se cherchent, ils finissent par se trouver. La danse de Constance peut être perçue comme une danse nuptiale, un rituel, des préliminaires : “et ses reins s’offraient à l’homme en une sorte d’hommage, d’acte sauvage, d’obédience.” (l.31-32). Olivier n’est même pas nommé, il est décrit selon son sexe car sur le moment c’est finalement tout ce qui compte : l’assouvissement de ce désir. Le lieu choisi pour l‘acte d’amour, en pleine nature, montre à quel point la nature est importante pour l’auteur. En effet, étant donné qu’elle considère que l’amour et ses suites sont naturels, elle choisit une forêt comme lieu de leurs ébats : “hors de la clairière et dans le petit sentier, fouettée par les buissons mouillés […] sur le sentier dans le silence retentissant de la pluie” (l.40 et 59). C’est une sorte d’utopie puisque les buissons et certainement les arbres (puisqu’elle sort d’une clairière) entourent les amants, ils sont seuls et ne peuvent pas être dérangé. De plus, le texte suit une circularité dans les lieux : de la cabane, on passe à la clairière, puis de la clairière au sentier, et du sentier on retourne à la cabane. Ce ne sont que des lieux clos ou secrets, tenus à l’écart du monde comme un locus amoenus en pleine nature, un nouvel Eden. La météorologie est aussi importante dans cette utopie puisque personne ne sort par un temps pareil, les amants n’ont donc aucun risque de se faire surprendre par quelqu’un, ce qui leur permet de profiter pleinement du moment présent. Ils en ont bien besoin, car Constance s’apprête à partir pour Venise : “Elle savait que son départ pour Venise, dont il venait seulement de sentir la réalité […]” (l.8-10), c’est donc aussi un moment où le départ est imminent, un presque adieu, ce qui renforce aussi le désir du couple.
TROISIÈME PARTIE : L’écriture du désir.
Enfin dans cette troisième partie nous verrons la manière dont l’auteur écrit le désir sur papier, alors que c’est quelque chose que l’on ressent habituellement. Tout d’abord, il utilise énormément de métaphores marines si l’on considère que toute l’eau utilisée dans ce passage en sont. L’eau est ici prédominant dans tout le passage. Si on en relève le champs lexical on peut voir qu’il n’est question que de ça : “pluie” (l.1, 14, 24, 27, 39, 53, 57, 59, 61, 65, 72), “tomber à verse” (l.2), “la pluie lourde et droite, semblable à un rideau d’acier” (l.12-13), “lourde pluie” (l.22-23), “lourde averse” (l.35), “les cheveux tout mouillés et collant à sa tête” (l.36-37), “les buissons mouillés” (l.41), “une tête ronde et mouillée, un dos mouillé […] brillantes de pluie” (l.42), “sa taille douce, nue et mouillée” (l.48), “son corps brillait et ruisselait” (l.73-74). La pluie surtout occupe une place importante, puisque c’est le lieu de leur amour physique. Toute cette eau pourrait représenter la transpiration de l’effort d’un acte sexuel sauvage et sportif, ainsi l’eau montre la dimension humaine et naturelle de l’acte sexuel que défend l’auteur. L’eau pourrait aussi représenter la conséquence physique de l’excitation sexuelle chez l’homme, ou alors l’eau pourrait n’être qu’un prétexte pour démarrer l’acte sexuel (le déshabillement de Constance qui attise le désir d’Olivier). Néanmoins, l’eau est aussi présente dans la ville de “Venise” (l.9), puisque Venise est une ville construite sur l’eau, et c’est aussi la ville de l’amour ! Donc l’eau représente bien quelque chose en rapport avec l’amour. De plus, puisque l’amour naît à travers le regard, on peut remarquer que les yeux de Constance sont bleus : “ses yeux bleus” (l.38), couleur de l’eau, couleur de l’amour, ou désir et amour dans les yeux de Constance. Enfin, la pluie est précédée du “tonnerre” (l.1), “un dernier éclair, un dernier roulement de l’orage” (l.3). Ce son puissant pourrait représenter le désir chez nos deux amants qui apparaît tout à coup. Le tonnerre, moment de rupture et de violence, sert aussi à couper le dialogue philosophique entre Olivier et Constance, pour laisser place à l’amour et aux adieux, comme si l’on changeait d’acte au théâtre. Le tonnerre peut montrer la dimension très naturelle et sauvage de l’acte charnel amoureux. La répétition de “dernier” est une insistance sur le fait que c’est aussi le dernier moment entre nos deux amants pour se retrouver. La présence de tant d’eau permet à l’auteur de faire une antithèse entre deux temps de l’extrait : premièrement, le moment de l’acte charnel dominé par l’élément de la pluie, et deuxièmement, le moment du repos et des adieux dominé par l’élément du feu. La pluie est froide : “avec un petit frisson” (l.34-35), “froide” (l.52), “frémissant” (l.57), tandis que le feu est chaud : “visage échauffé” (l.38), “cette masse de chair féminine, douce et froide, que le contact rendit bientôt chaude comme le feu.” (l.51-53), “leurs corps fumaient” (l.54), “le feu déjà allumé” (l.70), “sa figure était toute rouge” (l.72-73), “le feu s’élevait en hautes flammes” (l.79-80), “le devant du corps exposé au feu, ils étaient assis côte à côte sur une bûche devant la flamme pour se reposer” (l.88-90), “la secrète chaleur” (l.99). Cette antithèse pourrait rappeler les deux caractères bien différents de nos deux amants. Les opposés s’attirent, et c’est bien vrai dans cet extrait. La manière de passer du froid au chaud est drôle, l’auteur montre les deux amants comme un couple prenant soin de l’un et de l’autre, et qui se rendent présentable ensemble : “Nous nous essuyons ensemble dans la même serviette : présage de dispute, dit-il.” (l.82-83). Olivier lance une pointe d’humour à Constance qui réplique par : “ce n’est pas une serviette, c’est un drap de lit.” (l. 86). Par l’avertissement d’Olivier, elle répond exactement par le sujet de la dispute en question, ce qui est drôle. Olivier souligne par cette phrase qu’ils forment un couple, avec son inconvénient : les disputes potentielles. Mais c’est avant tout une scène d’amour qui permet aux deux amoureux de se réconcilier après une scène de désaccords.
Conclusion :
- Le champ lexical de la nature et des éléments est abondamment utilisé dans l’écriture du désir chez Lawrence. Au contact de la nature, ce sont aussi les sens qui sont stimulés ainsi que le toucher.
- Une sensation d’enivrement qui l’aide à reprendre conscience d’un corps qu’elle avait progressivement oublié voire nié à cause de l’abstinence due au fait que son mari handicapé soit impuissant sexuellement. Elle se redécouvre en tant que femme grâce à Olivier dont elle tombe amoureuse.
“Quant à moi, je défends mon livre et ma position : la vie n’est acceptable que si l’esprit et le corps vivent en bonne intelligence, s’il y a un naturel équilibre entre eux, et s’ils éprouvent un respect naturel l’un pour l’autre.”
Préface de l’auteur, Paris, 1929.
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marvis ven (vendredi, 06 décembre 2019 23:39)
MON HERPES CURE AU RÉSULTAT NÉGATIF. Prenez votre temps pour lire mon article sur la façon dont je suis guéri du virus de l’herpès si facilement. Je viens des États-Unis, d’Austin, au Texas. Je vois habituellement mon épidémie 3 ou 4 semaines plus tard, mon ami m'a présenté à un docteur en phytothérapie qui guérit le virus de l'herpès et j'en ai été témoin moi-même. (email du docteur .. (herbalcure12@gmail.com) cela fait 2 ans que je n’ai pas guéri de ce virus, plus aucune épidémie, aucun symptôme du virus de l’herpès, je suis si heureux d’avoir rencontré des personnes guéries et J'ai lu leur témoignage, après avoir pris les médicaments à base de plantes, je suis allé voir mon médecin pour vérifier si j'étais totalement négatif, il a confirmé que je suis à 100% négatif du virus de l'herpès, il est difficile de croire que j'ai guéri de l'herpès. avec un médicament à base de plantes du Dr Mohammed, j'ai été testé négatif après avoir utilisé le médicament à base de plantes, je suis allé dans plusieurs laboratoires pour un test sanguin et le résultat était identique, l'herpès négatif, est-il possible que je sois guéri? parce que j'y pensais n’était pas un remède, je suis tellement heureux du résultat que j’ai aujourd’hui, je me sens merveilleusement bien, vous pouvez également le contacter pour vous soigner. , pas de douleur et mon résultat est négatif après l'utilisation du Dr Moha Phytothérapie mmed. il est vrai qu'ils disent qu'il n'y a pas de problème sans solution. contactez le grand médecin pour la guérison complète de tout type de virus et de maladie, son adresse e-mail .. herbalcure12@gmail.com Whatsapp / appelez +2349036036397